4 septembre 2005
je t'aime encore
Sais tu que tu as longtemps poignardé mon cœur,
A force de coup tu la détruit lentement
Avant de lui infliger le dernier châtiment
En retirant ta lame laissant mon cœur presque mort.
Tu as répandu un poison dans mes veines
Qui repousse toutes forme de haine
Rendant mon corps dépendant du tiens
Un désir charnel qui toujours se maintient
Tu apparais comme destructeur
Mais dégageais une telle douceur
Tes baisers étaient langoureux,
Ton regard presque amoureux.
...
J’ai mal, tu me fais souffrir
Je voudrais tant te haïr
Mais je ne sais que t’aimer
Même si çà veut dire pleurer
Dodey Vador
Publicité
Publicité
Commentaires
M